Kusho Kotomi

[b]Partie I : L'enfer d'une simple conscience

Fragment d'âme, celle qui murmure en vos coeurs meurtrie les quelques préceptes d'une violence inouïe. Je, il, on est le ça, la petite chose que l'ont cherche que l'ont cache, celle qui vous entraîne dans vos derniers retranchement qui vous pousse a tuer, dépecer. Qui suis je. Comment se poser une telle question quand ne nous sommes qu'un morceau d'un tout qui nous contient. Quand je lève le bras et que je le regarde ce n'est pas vraiment moi qui le possède, de temps en temps je peux serrer les doigts pour venir à faire quelques chose de mal, quand le coeur est trop faible l'envie trop forte. Que peut ton raconter quand nous ne "vivons" que les instant par procuration, une mine de jouissance, le soleil caressant une peau qui n'est pas à nous, touchant les cheveux d'une femme qui n'est pas mienne ou peut être l'est elle après tout. Je, il, nous sommes Kusho Seiketsu une part de lui dans tout les cas, son sa mais la limite n'est pas franche l'envie de me détruire n'est pas la, aucun humain ne le peu. Prit entre les désire inavouable et les règles de la société, je suis celui de la liberté l'aigle au delà des règles l'envie au delà des répercutions une étincelle de simplicité dans un monde d'absurdité. Et ma voie est la plus forte de tous. Dans se corps aimable, le jeune hommes joue avec deux coeurs. Des parents ô combien troublant des envies menaçante qu'il cachait derrière des sourire de faux semblant. Tellement d'attaque stupide de petit rien qui changeait sa vie, le jeux de l'amour n'était qu'une vaste farce dramatique ou les deux protagoniste telle Oedipe ce trouvait enlisé dans un future ou ils n'étaient pas, aucun des deux, maître de leur vie aussi furibonde soit elle. Le ça grandissait, je m'énervais doucement mais il me suivait lâchement, deux coeur a l'unisson une même âme contaminé par la partie la plus sombre. Je, il voyait les jours passer et rien s'arranger, il gardait au fond de son coeur une rancoeur qui gagnait en force, et a chaque battement d'âme le ça faisait régner sa lois.

Le coups de grâce, moment bénis, les années avaient passé et le temps c'était gâté. L'amour imposé avait fait naître au sein du petit coeur furibond des envies de plénitude mortelle pour le petit morceau d'âme. Dans ce chant euphorique, une bataille se décidait. Pour le ça les choses étaient simple et on pouvait faire règles générale de ce qui se passait en ce seins. L'amour gagnait en charme apaisait le mal, et pour garder le petit bout de terrain noirâtre qu'il pouvait appeler "chez sois" la bataille faisait rage. Heureusement, la femme n'était pas mère thérésa et l'amour pour autrui elle ne connaissait pas. Seiketsu s'en aperçus rapidement, d'abord l'âme amoureuse joignis ces forces à la stupidité pour repousser la simple idée que la femme qu'il aimait a profusion n'était que l'hersasse de démon que son alter ego avait déjà démasquer. La vie fut rapidement brisé, par le désespoir pour beaucoup puis par la drogue. La plénitude qu'il ressentait le conduisait dans les méandre d'une vie insipide, pendant un long moment, jusqu'à la fin, le ça se chargea de ses choix. La suite fut simple à comprendre, la douceur devint violence, tendresse se transforma en viole, chaque baisé était accompagné de rage et de coups aveugle. La mort arracha son "amour" et la drogue finit par lui prendre son corps. L'âme devint errante et sa force augmenta.

La chaîne brisé tintait tranquillement alors que fou d'une passion disparut Seiketsu ce trouvait confronté a la haine qu'il portait depuis tant de temps à sa vie, et je, il, devint plus fort. Sa force attirait les regard indiscret, les formes au masque horrible mais il les dépassaient de loin le ça était plus fort de par la haine qu'il engendrait et de part le corps qu'il allait doucement former. Une utopie de plus une simplicité de moins, un shinigami un peut trop ennuyé par sa vie vint le prendre en chasse, et il se fit enterrer.
Enterrement de l'âme, cela porte bien son nom. L'âme est sauvé, mais le ça est emprisonné. Fou son ceux qui crurent le détruire, quand on se retrouve avec la marque sur le front, le ça est propulsé a sa place. Petit morceau d'âme stupide relier aux ténèbres, une lucarne servant de seul point de regard sur une vie qui nous échappe, pour la plus part sourd du monde extérieure prisonnier d'un corps qui nous haie. Un nouveau monde s'offrait à Seiketsu, tout était si lumineux, le monde était heureux et les chaînes bleuté du petit monde sourd du ça le retint avec une force toujours plus grandissante. Aussi fort soit il, l'enterrement de l'âme l'avait sceller bien loin de la lumière, aussi loin que pouvait un shinigami de seconde zone. Je, nous avions commencer une nouvelle vie dans un nouveau corps. Les débuts furent rude, les shinigami ne virent pas le potentiel exacerbé du petit et le renvoya d'une simple pichenette. Le temps avait pourtant servit la cause, et le jeune se trouva un mentor ou c'est ce que je ..nous .. moi ou lui.. purement comprendre ne serait ce que dans les ténèbres qui entourait la petite âme, le monde par la force des chose commençaient à s'ébruiter, de petit son lui parvenait et plus l'enveloppe devenait forte plus le petit bout d'âme prenait de la place au seins de celui qui c'était maître de se corps sans prendre en compte ce que désirait lui, nous, qui regardait par la petite lucarne de lumière. Il se savait en force, il voulut briser les chaînes mais elle tinrent bon aucun doute dans le coeur de ce corps, aucun pas le moindre alors que le bonheur frappait à sa porte et qu'il avait trouvé cette Mia les chaînes avait reprit de leur force quelques chose qu'il avait rarement vue dans son petit coin de ténèbres sous la domination d'un chef égocentrique qui préférait enfermer ce qui aurait put être une force dévastatrice. Le temps se figea un moment, l'âme ne voulait plus regarder ce qui se passait en dehors mais les chaînes qui le retenait avait quelques chose de contraignant, l'obligeant a se maintenir toujours devant une vie qu'il ne maîtrisait pas. Quelques bruit passaient disparate et peut d'envie. Ce corps qui avait connut tant de haine était maintenant une petit larcin, blague de mauvais goût pour le coté ténébreux qui essayait par tout les moyen de ronger ces entraves.

Une journée fabuleuse quand il tira pour la première fois son Zanpakutos de son fourreau. Le monde ou était enchaîné l'âme changea radicalement, un soleil éblouissant, la fenêtre se rétrécit des bruit d'oiseau et autre sensation submergea le morceau d'âme qui au lieux des ténèbres se trouva attaché à un arbre, l'écorce bien que d'une couleur brunâtre était d'une douceur esquisse et pour la première fois les chaînes de Kotomie lui semblait fabuleuse. Avoir tirer l'arme du fourreau avait réveiller l'âme de l'ultime triangle de force. L'âme de l'arme c'était mélangé à tout se fourbie émotionnelle. Et comme toute raison intérieure, l'âme entravée fut la première à la voir, à la sentir, a écouter son enseignement. Alors que le corps faisait son chemin parmi les court et son bonheur avec Mia il se trouvait des plus désabusé d'être le seul à se soucier de la force que l'arme pouvait lui apporter. Elle se présenta à lui, alors que le soleil avait fait déserté l'ombre qui lui était si chère.

"Bonjour" avait elle dit son ton enjoué faisait frissonner le morceau d'âme, mais cela ne l'avait pas empêché de continuer à parler.
"Je suis ****** enchanté de vous rencontrer" déclara la nouvelle ame, le sons était bien trop faible pour qu'il puisse entendre quoi que se soit mais il y avait quelques chose dans le mouvement de ces lèvres qui lui avait apprit que son nom commençait par un K c'était toujours mieux que rien et pour lui, sa faisait un jeux qu'il adorait.
"Tu ne peux pas m'entendre ?" demandât elle alors que l'âme essayait d'avancer vers elle.
"Je ne peux pas entendre ton nom mais moi au moins je te vois" dit il lançant un regard au corps qui débattait l'arme dans tout les sens pour s'entraîner à un maniement vain. L'âme rigola un moment s'approcha doucement, un kimono court qui cachait une poitrine prépondérante, une queue qui ressemblait à celle d'un zèbre bougeait d'en avant en arrière comme un chien qui s'amuserait d'un rien. Les manches d'une longueur terriblement inhabituelle tombait pour lécher le sol de ces deux gros anneaux qui virevoltaient comme dans un rêve.
"Me voir ne suffit pas tu est une partie de lui apres tout c'est normale que tu puisse me voir" dit elle alors que les chaînes se raidissait pour le maintenir à sa place.
"Dit moi ton nom une nouvelle fois " marmonna l'âme.
"Si tu y tient mais tu ne pourra jamais me dégainer réellement tu le sait non ?" affirma l'arme qui avait prit une pause de conquérant, deux oreilles d'un animal étrange étaient surplombé de deux petite corne qui soulignait les yeux rouges de l'âme par une tignasse noir. Le silence engourdie la rencontre mais le soleil resta au beau fixe.
"Comme tu veut je m'appelle Kyouseisuru" répéta la femme.
" Kyouseisuru se sera alors" dit l'ame, les chaînes semblèrent devenir plus fragile, leur étreintes se relâchèrent et l'âme sourie, une rencontre magnifique qui l'avait fait gagner en une force qu'il ne soupçonnait pas encore. Par cette rencontre il avait séparé le lui dit il, le nous du moi, il était une entité qui pouvait maîtrisé l'âme qui souriait béatement devant le soleil artificielle.